Offenbach en fête : du 28 mars au 1er avril 2009 au Cirque d’Hiver Bouglione

Offenbach en fêteDans la moro­si­té ambiante, la musique d’, invite à  la joie de vivre et à  l’in­sou­ciance. Pui­sant dans l’œuvre d’Of­fen­bach, cette créa­tion lyrique, théâ­trale et dan­sée pro­pose à  tous, petits et grands, de décou­vrir l’u­ni­vers ébou­rif­fant du « Mozart des Champs-Ély­sées ». 250 cho­ristes, solistes et ins­tru­men­tistes ain­si qu’une mise en scène ori­gi­nale mettent en valeur des extraits de , , , , , ,

Offenbach en fête

250 inter­prètes de l’A­ca­dé­mie de Musique, avec Clé­men­tine Mar­gaine, mez­zo, et Franck Cas­sard, ténor. Mise en scène : Pierre Cata­la. Lumières : Thier­ry Hou­lette. Direc­tion musi­cale : Jean-Phi­lippe Sarcos.

Samedi 28 mars à 21h00,
Dimanche 29 mars 2009 à 16h00, 
Mercredi 1er avril 2009 à  21h00 au Cirque d’Hiver Bouglione.


Réservation des places :

01 45 20 82 56 – www.academie-de-musique.com • Fnac : 0 892 683 622 / • Ticket­net : 0 892 390 100 / www.ticketnet.fr • Maga­sins Fnac, Vir­gin, Car­re­four, Auchan, Leclerc, Géant et autres points de vente habi­tuels • prix des places : de 11 à  41 • gra­tuit pour les moins de 12 ans • réduc­tions étu­diants, moins € de 26 ans et chômeurs

Transport :

Cirque d’Hi­ver Bouglione
110 rue Ame­lot Paris 11e
M° Filles du cal­vaire ou Oberkampf

Par­king aux alen­tours du Cirque

À propos : Fabien

Après avoir travaillé le chant au Centre d'Arts Polyphoniques de Paris, il entre en 1995 au Conservatoire de Gagny où il est l'élève d'Evelyne Razimowsky en classe de Chant et de Jean-Louis Calvani en classe d'Art Lyrique. Il poursuit ensuite son perfectionnement avec Florence Montana au Conservatoire de Vincennes, puis au Conservatoire de Musique de Nouvelle Calédonie.

2 commentaires

  1. Bon­jour,

    Mer­ci pour ce témoi­gnage enthou­siaste et sans concession 😀
    Ce spec­tacle semble bien allé­chant et je regrette gran­de­ment de ne pou­voir y assister.

  2. Je reviens du cirque d’hi­ver et ai décou­vert avec bon­heur l’or­chestre de Jean-Phi­lippe SARCOS ain­si que les choeurs de l’A­ca­dé­mie de Musique. La mise en scène éait flam­boyante, les choeurs enthou­siastes et joyeux dans le répe­toire clas­sique d’Of­fen­bach. Un seul « bémol » le ténor Franck C. à  qui il fau­drait offrir un micro… pauvre brésilien !

    Mais bra­vo pour le reste du spectacle.

    Claire

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