DVD : Die Walkà¼re – 1ère journée de l’Anneau du Nibelung – James Levine au MET

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Comme pro­mis voi­ci la suite de « Das Rhein­gold », à  savoir « Die Walkà¼re ».

D’a­bord ce qui frappe … sur l’oeuvre pro­pre­ment dite, pour celui qui comme moi découvre cet opé­ra, c’est le chan­ge­ment de ton total par rap­port à  Das Rheingold.
Ici on aban­donne, les nains, les géants, l’or, les pro­fon­deurs du Rhin, les cha­teaux ima­gi­naires … il est ques­tion d’amour.
Aus­si on com­prend pour­quoi cet opé­ra fut le plus joué des 4.

Les per­sonnes aller­giques aux mises en scène clas­siques (mais res­pec­tueuses à  la lettre des indi­ca­tions de ) doivent pas­ser leur che­min, bien que la dimen­sion fan­tas­tique étant rela­ti­ve­ment effa­cée en com­pa­rai­son des autres épi­sodes, cela devrais leur poser moins de problème.

Voca­le­ment c’est du grand  :

Un Wotan impé­rial, mais aus­si qui sait expri­mer sa dou­leur au moment fati­dique. Une Brà¼nn­hilde tou­chante tout simplement.
D’ailleurs leur duo final, est à  mon goût le moment le plus émou­vant de cette représentation.
A coté il y a Jes­sie Nor­man en Sie­glinde, très émou­vante elle aus­si. Quand à  Sieg­mund, son phy­sique ingrat pour un amou­reux, ne l’empêche pas de bien .

Bon à  bien­tôt pour … Sieg­fried :b

À propos : Fabien

Après avoir travaillé le chant au Centre d'Arts Polyphoniques de Paris, il entre en 1995 au Conservatoire de Gagny où il est l'élève d'Evelyne Razimowsky en classe de Chant et de Jean-Louis Calvani en classe d'Art Lyrique. Il poursuit ensuite son perfectionnement avec Florence Montana au Conservatoire de Vincennes, puis au Conservatoire de Musique de Nouvelle Calédonie.

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