Fabien

Après avoir travaillé le chant au Centre d'Arts Polyphoniques de Paris, il entre en 1995 au Conservatoire de Gagny où il est l'élève d'Evelyne Razimowsky en classe de Chant et de Jean-Louis Calvani en classe d'Art Lyrique. Il poursuit ensuite son perfectionnement avec Florence Montana au Conservatoire de Vincennes, puis au Conservatoire de Musique de Nouvelle Calédonie.

Nouvelles opératiques du mois d’août : Pavarotti va benvenuto con suo gyneco, ma non troppo…

Longue vie au Maes­tro Pavarotti ! Le ténor ita­lien Lucia­no Pava­rot­ti, hos­pi­ta­li­sé mer­cre­di dans un hôpi­tal de Modène (nord de l’I­ta­lie), « va mieux » et devrait quit­ter l’é­ta­blis­se­ment « dans les pro­chains jours », a indi­qué ven­dre­di son épouse Nico­let­ta Man­to­va­ni après lui avoir ren­du visite. « Il va mieux », a décla­ré Nico­let­ta Man­to­va­ni aux jour­na­listes qui l’at­ten­daient à  la sor­tie de l’hô­pi­tal. Selon elle, …

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Opéra de SYDNEY, du 26 juin au 30 août 2007, en vrac : Trouvère, Barbier de Séville et Enlèvement au Sérail

VERDI – Il Trovatore Jul 2007 Tue 3rd to Aug 2007 Sat 4th Il tro­va­tore is set in fif­teenth-cen­tu­ry Spain but the com­po­ser was living through the chao­tic Ita­lian poli­tics of the late 1840s. Elke Neid­hardt’s pro­duc­tion, upda­ted to the Spa­nish Civil War, demons­trates how ope­ra speaks the lan­guage of revo­lu­tion, wha­te­ver the era. Welsh-born tenor Den­nis O’Neill is the trou­ba­dour Man­ri­co, …

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TV : Il Trovatore – Orange (Alagna)

Image from Wiki­pe­dia France 2 … la 1° chaîne publique … de l’o­pé­ra à  20h30 ? C’é­tait pour ma part une pre­mière je n’a­vais jamais vu d’autres chaîne que Arte (et Mez­zo bien sur) le faire. Enfin … Mais pour énor­mé­ment de réserves : des repor­tages sur Ala­gna avant l’o­pé­ra et ensuite à  l’en­tracte pour que l’o­pé­ra soit « pas­sable » à  20h30 … c’est très …

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DVD : Die Walkà¼re – 1ère journée de l’Anneau du Nibelung – James Levine au MET

Comme pro­mis voi­ci la suite de « Das Rhein­gold », à  savoir « Die Walkà¼re ». D’a­bord ce qui frappe … sur l’oeuvre pro­pre­ment dite, pour celui qui comme moi découvre cet opé­ra, c’est le chan­ge­ment de ton total par rap­port à  Das Rheingold. Ici on aban­donne, les nains, les géants, l’or, les pro­fon­deurs du Rhin, les cha­teaux ima­gi­naires … il est ques­tion d’amour. …

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